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La bouquinerie aux deux colombes
19 novembre 2007

Mes classiques

Aujourd'hui, je ne suis pas dans une bonne journée, je suis grincheuse ou plutôt colérique et pour apaiser mon âme j'espèrais voir quelqu'un ce soir, mais ça juste pas arrivé ... peut-être pour une autre fois. Alors, j'essaie de détendre mon âme et il n'y a rien de mieux que de lire, or mes yeux saute de lignes en lignes sans retenir un seul mot de ce qu'a écrit Nabokov, je suis incapable de me concentrer, mais ça fait rien il y a plein d'autres méthodes : la méditation (peut-être cette nuit si je m'endors pas), s'occuper de ses animaux (je crois que je filerais plus pour les décapiter, ça arrive des fois), voir un bel homme (zut, déjà mentionné à la première ligne et je ne l'ai pas vu sniff) ou bien, écrire. Écrire dans les airs, mais écrire quelque chose au moins et ce blog m'appartenant je me plais à y mettre ce que je désire, donc voyons voir. De quoi désirerais-tu parler GeishaNellie ? Huum, allons y pour mes classiques en littérature, vous savez ces livres que vous caressez du doigt avec nostalgie et le désir profond des relire dès que vous aurez un moment de pause, mais il y en a tant à lire, hein ?

Alors, bien entendu, ils y en a qui se trouvent déjà sur mon blog : Chercher le vent de Guillaume Vigneault, Chroniques abyssiniennes de Moses Isegawa, La chorale des maîtres bouchers de Louise Erdrich, Ghost Story de Peter Straub, Geisha de Arthur Golden, la plupart des livres d'Anne Rice, les contes de Lewis Carroll, Le monde selon Garp de John Irving, les livres de Michel Jeury et Les fées ont soif de Denise Boucher.

Bien entendu. ils en existent d'autres que je n'ai pas encore relut comme : La maison aux esprits de Isabel Allende, Le cid de Corneille (Dieu ce que ça fait longtemps !), Bonheur d'occasion de Gabrielle Roy et Matroni et moi d'Alexis Martin.

Qu'est-ce qui fait qu'un livre devient pour moi un classique ? Et bien, comme je l'ai mentionné plus haut, il s'agit vraiment du feeling d'après la lecture, car lorsque je lis un livre, je vais le trouver bon sans plus, mais c'est une fois que je l'ai finis que je me rend compte qu'il me manque, qu'il a laissé sur ma langue une douce saveur.

Est-ce que je relis toujours mes classiques ? C'est loin d'être sûr, je vais les suggérer, ça oui, mais les relire ça dépend beaucoup du livre lui-même, comme Guillaume Vigneault, Denise Boucher, Alexis Martin, Gabrielle Roy, Corneille, je sais que je peux les relire sans qu'ils ne deviennent moins bon avec le temps, mais il y en a d'autres que je ne relirai jamais : Moses Isegawa, Louise Erdrich. Parfois, c'est en relisant un classique qu'il devient moins bon, comme Lolita de Nabokov ou Le vaisseau-démon de Michel Jeury.

Et voilà, ma mauvaise humeur semble un tant soit peu dissipée, en espérant que je revois ce bel homme dont j'ai parlé, huum.

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