Le libraire : la littérature jeunesse
Avril-Mai 2012
Dossier :
Spécial Jeunesse
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Encore une fois le libraire tombe sur un sujet qui m’intéresse plus ou moins : la littérature jeunesse. Bon, vous me direz qu’avec mon bébé, je devrais m’y m’être maintenant, mais ça ne m’intéresse simplement pas. Je suis tout de même persuadée qu’avec le temps ça va changer, mais pour l’instant cette édition-ci n’a pas réussi à me séduire. En plus, comble de malheur pour moi, la section Polar et littérature de l’imaginaire a laissé la parole seulement au polar dans sa partie chronique, donc pas de sf à l’honneur cette fois-ci . Mais bien entendu, le libraire a toujours un quelque chose pour tous les types de lecteur alors j’ai pu me rabattre sur le toujours-super-intéressant-mais-parfois-fort-déprimant éditorial de Stanley Péan qui nous dévoile les nombreux contre-coups que la culture a subit avec les lois du gouvernement Harper. Je ne m’étends pas plus sur le sujet, j’ai trop honte … Sur une note plus joyeuse, le libraire d’un jour de ce numéro est Jean-Carl Boucher un jeune acteur que je commence à drôlement apprécier-bon les mauvaises langues diront que c’est parce que je passe trop de temps devant la télé à écouter les séries pour ado comme Tactik,mais je vous assure que c’est seulement pour m’inspirer pour le futur et décider si je vais, oui ou non, laisser ma fille écouter la télé- et je vous assure que ses lectures vous redonneront espoirs sur la jeunesse d’aujourd’hui ! Bon, j’y vais peut-être un peu fort, mais il s’est quand même tapé Nelly Arcan ! Autrement, vous prendrez plaisir à lire les réponses laconiques de l’auteur Edgar Hilsenrath dont on vient tout juste de traduire son premier roman (sortie il y a près de cinquante ans !) Nuit. Pour terminer, je ne peux passer à côté des deux pages dédiées à une entrevue avec Mathias Malzieu dont le livre Maintenant qu’il fait tout le temps nuit sur toi est dans ma PAL, mais surtout sur les quelques lignes, d’une entrevue avec Serge Bouchard, pourtant une des grandes plumes québécoises (mon billet sur C’était au temps des mammouths laineux de l’auteur devrait bientôt être écrit) et qui aurait mérité une plus grande place.
Comme ma lecture de cette revue date un peu, ce billet est moins détaillé que les précédents.