Salon du Livre de Montréal édition 2012
Cette année c’est armée d’un budget bien établi et d’un bébé grognon que je me suis rendue au Salon du Livre de Montréal. Vous comprendrez donc que ce ne fut pas un Salon mémorable (quoique …) vu les crises sans fin que ma choupynette me faisait. Outre cela, j’avais déjà bien décidé mes achats et je me suis dirigée sans doute aucun vers les maisons d’édition choisies. Je dois avouer, qu’en chemin je me suis un perdue parce qu’il y avait tellement de chose à voir, mais ce n’est pas grave. Somme toute, ce salon aura été marquant pour la quantité d’auteurs à qui j’aurai parlé. Je suis de nature très timide et je perds souvent mes moyens devant ceux dont j’ai beaucoup apprécié le livre. Voici tout de même le résumé de mes rencontres :
Serge Bouchard, dont j’avais vraiment adoré le livre C’était au temps des mammouths laineux.
Michel Jean dont le livre Elle et nous est dans ma PAL.
Ryad Assani-Razaki dont j’ai bien aimé La main d’Iman et carrément adoré le recueil Deux cercles. Bien entendu, j’ai eu l’air d’une idiote devant lui en lui débitant toute sa biographie comme une dérangée et en bavant un peu devant sa beauté. Je suppose qu’il a déjà oublié (I hope).
Pour ce qui est de mes achats, il y a, bien entendu les cadeaux de Noël parce que je profite toujours du Salon pour m’avancer un peu. Il y a aussi un petit sac surprise pour mon petit bébé que vous ne verrez pas sur la photo ci-jointe.
Pour les achats de Noël, il y a Deux cercles de Ryad Assani-Razaki (autographié, alors que mon propre livre ne l’a pas été ) et Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier. Pour mes propres cadeaux lol : Le syndrome de la vis de Marie-Renée Lavoie, De colère et d’espoir de notre chère membre du QS, Françoise David, Et au pire, on se mariera de Sophie Bienvenu (qui est déjà lu, bientôt un billet et qui mentionne, Françoise David lol) et un petit carnet gratuit sur la sf des librairies indépendantes du Québec (sera bientôt chroniqué aussi). Et si vous vous demandez c’est quoi le gros livre dans le milieu, ben c’est la preuve que je peux respecter mon budget, mais pas mon chum
. Hé oui ! Monsieur qui devait tenir le porte-feuille décide à la toute fin du salon que, décidément, le livre sur les macarons (Macaron des chefs Gaëlle et Johan Crop) que je lui ai montré au début de la journée l’intéresse beaucoup. Donc 25$ de plus qu’escompté, mais c’est pas du tout ma faute (contrairement à ce que mon copain a dit aux gens de son bureau).